POUR UNE REELLE RESISTANCE DES EXPLOITES ET OPPRIMES, POUR UNE UNITE DES LUTTES SOCIALES
Depuis plus de trente ans, patronat et État enchaînent les plans de restructuration et appliquent la même logique : augmenter la productivité,comprimer la masse salariale, mais aussi précariser, flexibiliser et"pacifier" les salariés par la peur du chômage. À toutes ces mesures,l’État rajoute la réduction du salaire indirect (c’est-à-dire les aides sociales). L’écart entre les niveaux de pouvoir d’achat grandit sans cesse et produit une ségrégation qui exclut une part croissante de la population, surtout en terme de qualité (logement, santé, nourriture,éducation...). Le résultat est patent : dégradation générale des conditions de vie des salariés, et constitution d’une masse de cinq à sept millions de pauvres. Les hauts revenus croissent proportionnellement aux inégalités, avec, en prime, l’arrogance des nantis, les pratiques sécuritaires et répressives, l’absence de démocratie, le contrôle social croissant, la remontée d’idéologies réactionnaires (religions, dirigisme,darwinisme social, anti-culture, militarisme, etc.).
La suite sur http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1295
0 Comments:
Publicar un comentario
<< Home