CARTAS A CeNiT

Bonjour,
C'est votre compagnon de St Estève qui nous a mis en contact, mais il y a un quiproquo, je ne suis pas la femme d'Antonio, mais la fille (de sa femme).
J'avais constaté qu'elle continuait de recevoir Cenit et je lui avais demandé si elle payait la souscription et elle ne s'en était jamais soucié. C'est pourquoi j'ai pris contact avec vous.
Pour moi, curieusement, ce journal était un lien avec un passé regretté, mon beau-père et José étaient d'excellentes personnes, d'une grande qualité humaine, pour qui j'avais beaucoup d'affection et qui me manquent.
Ce monde actuel, plutôt individualiste, où l'argent prédomine sur l'éthique et l'être humain fait que l'on apprécie les "petites lumières" qui apportent affection, solidarité.
Mon admiration pour continuer à garder cet esprit malgré la vie et d'avoir la force (ce n'est pas évident) de continuer à écrire…
En attendant de vos nouvelles recevez
un cordial saludo
D.

De CeNiT nº 976 de 7 de febrero