CENIT portavoz de la regional exterior de la cnt-ait

"SI CADA REFUGIADO ESPAÑOL NARRASE SIMPLEMENTE LO QUE HA VIVIDO, SE LEVANTARÍA EL MÁS EXTRAORDINARIO Y CONMOVEDOR DE LOS MONUMENTOS HUMANOS" FEDERICA MONTSENY, 1978

30 noviembre, 2005

NUEVA "SOLI" NÚMERO 325


La "Soli" editada por la CNT-AIT de Catalunya i Balears
Aparece con los siguientes temas:
- LA MAT: Línia de Molt Alta Tensió
- EDITORIAL: Legalitzant la intolerància
- Actes a Catalunya del 69 Aniversari de la Revolució social
- Tanquem les Nuclears!
- Conversación libertaria con Daniel Barret (Y II)
- Sección de formación cultural: El silenci de Georg, The Take etc.
- Carta a un amigo: explicación de la violación de correspondencia en USA
y más.
Para suscripción, apoyo y colaboraciones:
Administración y Redacción, Ptge. Riu Congost nº 5-11 bajos, 08917 Badalona

28 noviembre, 2005

LA FORMA DE SER DE LOS ANARQUISTAS


"DESTRUID TODAS LAS INSTITUCIONES DE LA DESIGUALDAD; FUNDAD LA IGUALDAD ECONÓMICA Y SOCIAL DE TODOS, Y SOBRE ESTA BASE SE LAEVANTARÁN LA LIBERTAD, LA MORALIDAD, LA HUMANIDAD SOLIDARIA EN TODO EL MUNDO"
Bakunin "Dios y el Estado"

tomado de "Esto y Aquello": El anarquismo actual en CeNiT nº 969,

AUTOMNE 2005...

Il y a longtemps que ça flambe dans les banlieues, où le système a concentré de la misère. Ce qui se passe aujourd'hui n'est donc pas étonnant : le contraire le serait. De la droite à la gauche, on prétend qu'il s'agirait d'un défaut d'intégration, d'une défaillance éducative, d'un trouble du comportement, d'un communautarisme identitaire, d'une voyoucratie délinquante, de difficultés à l'emploi, etc...On mélange toutes les explications, on stigmatise une partie de la population par les comportements critiquables de certains. Cette théorique dédouane les responsables et transforme la victime en bourreau, l'opprimé en oppresseur. Car c'est bien le capitalisme qui fabrique et utilise le chômage pour augmenter ses bénéfices et affaiblir la riposte du salariat. C'est bien la bourgeoisie qui augmente ses revenus en dégradant les conditions d'existence d'une fraction croissante de la population. Ce sont les politiciens qui ont oeuvré à cet urbanisme concentrationnaire de banlieue pour loger à faible coût la main d’œuvre. Soyons justes : notre système social est basé sur l'exploitation, l'exclusion, l'oppression ; c'est sa nature profonde, il suffit d'observer la réalité.Occulter ou prétende le contraire est un mensonge, une manœuvre politicienne pour manipuler l'opinion. La bourgeoisie de droite occulte la nature du système et ses conséquences, celle de gauche croit qu'il suffit de faire un peu de social, mais, de droite à gauche, l'adhésion à ce système aboutit à des choix politiques jumeaux, de nature antisociale.Toutes les luttes et manifestations, salariales, étudiantes, des cités, ne sont que l'éveil d'une résistance populaire, l'expression des contradictions de classes sociales. Curieusement, certains adeptes de la lutte de classes comme Krivine ou Laguillet se sont exprimés de façon douteuse, démagogique, ambiguë, et ne faisant apparaître une analyse révolutionnaire du problème : la pêche aux voies et le jeu d'alliance électorale font-ils déjà sentir la trahison parlementariste ? Certes, des émeutiers commirent des erreurs de cibles en détruisant les biens de leurs frères de misère, mais ce n'est ni dans les silences et les absences que les erreurs s'évitent. Il faut être présent, parmi les révoltés, dans les cités, pour donner sens, éviter les pièges, créer du lien avec les autres résidents, travailler à massifier la lutte, mettre en discussion et rapport l'ensemble de la population, ouvrir des débats, pratiquer l'alliance et la solidarité, expliquer que Sarkosy à jeter de l'huile sur le feu pour faire oublier le décès de deux jeunes innocents.Par ses déclarations, Sarkosy a attisé la révolte en sachant que des jeunes révoltés, dépolitisés, naïfs, réagiraient ainsi. La stratégie de la tension visait un retournement de la population pour pérenniser un discours sécuritaire qui, comme en 2002, permettrait la victoire de la droite en 2007. La gauche sentant le danger n'est pas en reste ; on a donc vu André Gerin, dirigeant du PC, tutoyer Sarkosy et l'approuver, tandis qu'Emmanuel Val du PS d'en rajouter sur le rétablissement de l'ordre et du couvre-feu, tout en saupoudrant sa vindicte de mesures sociales.On se souviendra de cette gauche, incluant la LCR, vota Chirac pour barrer la route à Le Pen : votera-t-elle Chirac contre Sarkosy ou Sarkosy contre Le Pen ? Cette tactique politicienne, ces calculs électoraux, délitent l'unité et la riposte des opprimés. Ce vote anti-front national a permis un redoublement des mesures antisociales, une utilisation massive des forces répressives contre les grévistes, les gens des banlieues, les lycéens et étudiants, l'application de lois liberticides... La niaiserie, les arrières-pensées, le défaut d'analyse, la débilité congénitale de certaines organisations contribueront-ils à un nouveau naufrage du vote antifasciste ?Observons les choses : il n'est pas exclu que la production de masse fordiste (assumant une croissance forte, une consommation soutenue élevant l'équipement de biens matériels de tous, faisant fonctionner la production sociale et par là la paix civile) et peut-être terminée. Structurellement, sous l'effet de la mondialisation et des problèmes écologiques, voire énergétiques, le capitalisme fordiste peut muer et ce post-fordisme n'est peut-être pas le paradis rêvé de certains. Une partie de la bourgeoisie théorise qu'il sera impossible de maintenir un tel niveau de production, que certains auront un haut niveau de consommation, tandis que la paupérisation touchera une grande partie de la population et les couches moyennes seront affectées par cet appauvrissement. Face aux désordres consécutifs à cela, une seule réponse : la répression, pour maintenir l'ordre néo-capitaliste.Une question hante les esprits un peu critiques : pourquoi quand l'arsenal répressif est largement suffisant et efficace pour ce type de manifestations, on décrète couvre-feu et état d'urgence ? Pourquoi un tel délire, qui même en 68 ne fût utilisé ? Bien sûr, il y a le calcul politicien d'un Rastignac, d'un démagogue, d'un prêt à tout pour être élu. Mais j'oserai une autre hypothèse : signifier clairement aux futurs mouvements sociaux que le pouvoir sera répressif, en montrant sa force, de façon à acclimater la population à cette donne, pour que celle-ci intègre ce processus de peur. L'état d'urgence n'est pas un aveu de faiblesse : au contraire.Ne laissons pas les propos de l'adversaire formater l'opinion publique ; il nous faut, au niveau discursif, contre-attaquer.Prétendre inadmissible la contestation violente. Quand l'Etat use de celle-ci, n'est-il pas l'aveu qu'en politique la violence est légitime ? Ce principe est érigé en droit des Etats qui ont le monopole légal de la violence, pour faire la guerre, réprimer la contestation, pérenniser des rapports sociaux violents, décréter couvre-feu, état d'urgence, loi martiale (permettant d'éventuelles dictatures). Dès lors, l'opprimé a toute légitimité pour ou ne pas utiliser la violence, l'important étant que l'attaque vise l'oppresseur et non son frère de misère.Expliquer qu'il s'agit d'actes d'individus violents, par leur propre nature ou psychologie, est habile car il permet d'évacuer comment ces individualités sont socialement construites : l'exclusion économique, le non-accès aux besoins fondamentaux (logement, santé, nourriture, loisirs, etc...), le cadre de vie désagréable, une sexualité non-épanouie, une culture délétère, la surpopulation agressante génèrent stress, frustration et violence. Tout cela envahit la personne dans une dynamique souffrance/violence. Par nature biologique, l'homme n'est ni bon ni mauvais, doux ou violent, dominé ou dominateur. Ces comportements sont biologiquement actés mais non-déterminés ; pour preuve : on peut les utiliser en alternance ou en remplacement. Les explications comportementales sont à chercher dans une psychologie existentielle, c'est à dire dans les inter-réactions individuelles et collectives, confrontées au sociétal (désirs, plaisirs, déplaisirs, permis, interdits, exclus, privilégiés, valorisés, méprisés, moi, sur-moi, sens, éthique). L'individu être pensant ne peut être saisi sans son étant au monde : c'est dans ce topique que les troubles prouvent leur explication.Voyons dans cette problématique l'hypocrisie, la perversité, les injonctions paradoxales du système. On parle égalité, liberté fraternité : nous avons le contraire. On nous veut respectueux, solidaires, civiques, justes, et on incite à être battants, meilleurs, commandeurs, gagneurs. Ceux qui nous exhortent au respect des lois les bafouent ouvertement. On nous incline à être pacifiques et on vante la puissance, la force, la guerre, la vengeance. On critique la délinquance, mais dirigeants d'entreprises, de l'Etat, de partis, de syndicats, pratiquent évasion fiscale, abus de biens sociaux, détournements de fonds, trafics d'influence, vols. On érige le courage, la loyauté, la franchise, l'honnêteté en principe, et la lâcheté, la traîtrise, la ruse, la rouerie, la démagogie sont de rigueur. On s'indigne des violences sexuelles ; parallèlement, on autorise le commerce sexuel, la nudité corporelle sexuellement attractive pour vendre, y compris du prétendu artistique. On prétend immoral de profiter de son prochain, mais le corps de beaucoup est une marchandise (la force de travail), qui, grâce au salariat, permet la richesse d'une minorité. On conseille de rester à sa place, se contenter de ce que l'on a, de rester modeste, que la condition d'humble n'est point méprisable, et, conjointement, on te qualifie de « pauvre type », « raté », « fauché », « minable », etc. On nous tolère citoyens et démocrates : c'est qu'il faut voter ; en réalité, on se fout du citoyen, tandis que la démocratie n'exprime pas ce que veut le peuple.Comment s'étonner que certains pêtent les plombs et partent en vrille, que d'autres, prenant le système à ses propres règles mais n'ayant le capital suffisant, tentent illégalement d'avoir de l'argent ? Quelques-uns, observant nos dirigeants, déduisent que tout est permis, mais surtout qu'il ne faut pas se faire prendre. Une autre fraction cassée, sans espoir, sans révolte, se soumet à son sort. Une autre partie croit qu'en se taisant, en obéissant aux ordres, en singeant les dominants, apprenant bien ses leçons et devoirs, pourra avoir sa petite part du gâteau. Restent les révoltés, les indignés, les contestataires, les subversifs : ceux-là sont l'espoir. Braves gens, si les jeunes ne vous plaisent pas, n'oubliez pas qu'ils sont vos enfants et ceux de ce système où les riches le sont de plus en plus, les pauvres de plus en plus et nombreux.Le désespoir gagne du terrain : le taux de suicide, notamment des jeunes, croît ; l'usage des médicaments face aux troubles psychologiques augmente ; les violences de toutes sortes (urbaines, au travail, privées) sont légions. L'exclusion, le chômage, la précarité, les mauvaises conditions de travail : c'est l'état du salariat. La pauvreté intellectuelle, l'effet d'une école mise au service du capitalisme et non de l'intérêt commun.Arrêtez de frémir sur les 20 millions d'euros de dégâts dans les banlieues. Pensez aux milliards que coûtent toute cette gendarmerie, les indemnités des élus de toutes sortes, les dépenses somptuaires des dirigeants, l'évasion fiscale, les délocalisations, les guerres, les projets inutiles et inefficaces, les bénéfices des entreprises, les revenus des riches, etc.Pour exiger un comportement adéquat des individus, le système se doit d'être légitime ; il ne l'est pas, ne l'ayant jamais été.Alors se posent les vraies questions. Faut-il continuer avec l'idéologie bourgeoise, l'économie capitaliste, l'organisation politique actuelle ? Notre monde court-il à sa perte ? Voulons-nous continuer le chacun pour soi, les rapports d'exploitation et d'oppression comme norme sociale ? Devons-nous accepter les démarches uniquement électoralistes de certaines organisations se prétendant révolutionnaires pour lesquelles la grève générale n'est jamais d'actualité ?Voulons-nous la concorde, l'harmonie, le respect de l'autre, une société pacifique, instruite et démocratique, égalitaire, capable de satisfaire les besoins économiques de tous ? Cela implique un autre système social, où les services publics le sont réellement et gratuits, où l'accès garanti aux biens matériels rendrait caduque l'usage du vol, où chacun aurait sa juste part de travail et de son prix, où l'école aurait mission de concourir à une connaissance générale (et non suivant l'utilitarisme actuel) ? Imaginons une société où l'équité serait la règle : la légitimité pour réclamer la norme serait plus aisée.Plutôt que vous morfondre et décrier, interrogez-vous. Qui sont ces anarcho-syndicalistes, avec leur communisme libertaire, leur fédéralisme, leur égalitarisme, leur démocratie directe, leur rejet de l'Etat, leur refus des rapports d'exploitation et d'oppression ? Est-il possible que cette idéologie constitue un système social, qu'une économie planifiée démocratiquement soit plus profitable que le capitalisme ? Ont-ils raison de vouloir que les gens se parlent, se solidarisent, empêchant les licenciements, les radiations de chômeurs, les expulsions, que les gens autoréduisent leurs charges locatives, refusent de payer les transports publics, etc. ?Si vous pensez tout le contraire, que Sarko ou la gauche vous sauveront en 2007, craignez demain d'être appauvris, exclus, chômeurs, avec en prime le fascisme.
Jean Picard
Adhérent CNT-AIT de Caen

26 noviembre, 2005

MICHELLE ANGIOLILLO


MICHELLE ANGIOLILLO
El 20 de agosto de 1897, el anarquista italiano Michelle Angiolillo era ejecutado por garrote vil en la cárcel de Bergara, tras un juicio sumarísimo por un Tribunal Militar. Al morir gritó ¡Germinal! (naceran otros nuevos).
Angiolillo había sido detenido en el Balneario de Santa Agueda (Arrasate) tras matar a tiros a Antonio Cánovas del Castillo, presidente del gobierno español y artífice de la Restauración de la monarquía.
Michelle Angiolillo había nacido en la ciudad italiana de Foggia, tipografo y periodista, militante anarquista, se trasladó a España con el deseo de matar a quienes consideraba responsables de la represión contra los anarquistas catalanes, que fueron torturados en el castillo de Montjuich. Estos posteriormente serían juzgados en los llamados Procesos de Montjuich. Se dictaron 8 penas de muerte, que fueron ejecutadas y numerosas penas de prisión y deportaciones.
En aquel momento, tras unos años en que el gobierno de Sagasta había permitido que los restos dela Primera Internacional reaparecieran en el Congreso de Barcelona (1881) como la Federación Regional de Trabajadores de España, el anarco - sindicalismo había quedado deshecho por la represión. Un sector del anarquismo optó por la violencia contra los símbolos de la burguesía y de la Iglesia, lo que provocó una mayor represión contra el conjunto del anarquismo y del sindicalismo de carácter anarquista.
A primeros de agosto, Michelle Angiolillo tomó el tren en la estación del Norte de Madrid y se apeó en la población de Zumarraga. Allí tomó un carro que le condujo al Balneario de Santa Agueda. Se presentó como Emilio Rinaldi, tenedor de libros y corresponsal del periódico italiano "Il Popolo". Pocos días después mató a Cánovas del Castillo de tres tiros, mientras éste leía el periódico. Fue detenido inmediatamente, juzgado y condenado a muerte. Declaró que había matado a Cánovas en venganza por los fusilamientos del Proceso de Montjuïc. En la actualidad, la cárcel de Bergara es ocupada por el "gaztetxe" y todos los años, al cumplirse el aniversario de su ejecución, manos anónimas colocan rosas rojas en el cementerio.

CNT reivindica al Ministerio de Cultura la devolución de su patrimonio histórico documental


Secretaría de Prensa del Comité Nacional CNT/AIT
Reunión de CNT con altos responsables del Ministerio de Cultura para solicitar la restitución del Patrimonio Histórico Documental de CNT incautado por el régimen franquista· CNT denuncia el trato discriminatorio respecto de otras organizaciones sindicales en materia de devolución del Patrimonio Histórico
El jueves 24 de noviembre una delegación del Comité Nacional de CNT, encabezada por su Secretario General, Rafael Corrales Valverde, se reunió en el Ministerio de Cultura con el Director General del Libro, Archivos y Bibliotecas y con el Subdirector General de los Archivos Estatales, para reivindicar una vez más la restitución del Patrimonio Histórico Documental de CNT incautado por el régimen franquista y que se encuentra repartido en diferentes archivos estatales, principalmente en el Archivo de la Guerra Civil de Salamanca, pero también en otros como el Archivo Militar de Ávila.
CNT considera necesario el reconocimiento de su derecho de propiedad sobre este patrimonio documental como punto de partida para una posible negociación respecto del destino de dicho Patrimonio, dada su relevancia cultural como material historiográfico de primera magnitud para el estudio veraz de la historia reciente de nuestro país, y fundamental en los estudios de lo que ha dado en llamarse recuperación de la memoria histórica.
La reciente publicación en el B.O.E. de 18 de noviembre de la Ley que regula la entrega a la Generalitat de Cataluña de los fondos documentales del Archivo de Salamanca, no sólo los pertenecientes a dicha institución, sino también otros que fueron incautados en Cataluña, muchos de los cuales corresponden a CNT, pone de manifiesto que el Estado actúa de forma arbitraria y no respeta el principio de procedencia de la archivística, ya que entregará a la Generalitat una documentación que pertenece a CNT, y plantea dudas legales respecto de la posibilidad de que una central sindical recupere por esta vía su patrimonio expoliado.
El Patrimonio Histórico Documental que reclama CNT esta compuesto por toda la documentación interna de la CNT, así como de las organizaciones libertarias y las asociaciones obreras vinculadas a la misma, documentación que fue incautada por el régimen franquista y que forma parte por tanto del Patrimonio cuya devolución viene reclamando CNT desde su legalización en 1977.CNT exige un trato no discriminatorio respecto de otras organizaciones sindicales o políticas, en lo que a devolución del Patrimonio Histórico se refiere, y califica de “despropósito y de aberración ética y jurídica” el diferente rasero con que se está procediendo respecto de otras centrales sindicales como es la UGT. Asimismo CNT está a la espera de una reunión al más alto nivel, que ha solicitado al Ministerio de Trabajo, para desbloquear el tema de la devolución del Patrimonio Histórico, y ante la falta de respuesta se dirigirá a la Presidencia de Gobierno.
Finalmente, CNT valora de forma positiva la reunión mantenida con el Ministerio de Cultura, como una primera toma de contacto que debe concretarse en futuras reuniones, en las que se inicie un proceso de negociación que la Anarco-sindical propone al Ministerio sobre la base del reconocimiento de la titularidad del Patrimonio Histórico Documental de CNT
.

23 noviembre, 2005

Rincón poético: Poesía dedicada a mi madre


Este poema lo escribió Julià Castelló Grau (en la foto de la derecha) y ha sido retocado y corregido ligéramente, sin cambiar el sentido, por la redacción. Julià había sido interrogado por la guardia civil el 5 de abril de 1939. Tenía 28 años, era natural y vecino de La Cellera de Ter, de oficio picapedrero y casado.
Le acusaron de ser miliciano a las órdenes del Comité. Era de la CNT.
Negó todas las acusaciones y no hay ninguna prueba. Fue juzgado el 11 de mayo de 1939, llegó la orden de Franco: tres personas eran condenadas a muerte en este consejo de guerra.
Fue entonces fusilado el 12 de agosto de 1939, en las tapias del cementerio de Girona con 33 personas más. Era el fusilado con número 282.
Le habían denunciado un agricultor de 56 años de Salt, otra persona más de Salt, una vecina y un vecino de su pueblo, Cellera de Ter.
Cuando a la cárcel llegué
y me vi tan encerrado
al mirar mi triste estado
en el suelo me senté
Al ver mi desgracia plena
pensé en la madre adorada
mujer eternamente amada
y de angustias toda llena
Al suelo veo caer
las tristes lágrimas mías
y pensando en mi agonía
si es que la volviera a ver
De día y de noche los piojos
de mi sangre se alimentan
hoy hay algo que me atormenta
continuamente en los ojos
¿Son las rejas de hierro?
¿O son las voces de alerta
al abrir y cerrar las puertas?
¿O ser tratado como un perro?
Madre no te aflijas,
ni pienses en mí llorando
pue va la hora llegando
en que la palabre me dirijas
Seca de tus ojos el llanto
que yo como prisionero
estoy durmiendo en el suelo
y por cabecera un canto
Madre cuando recibas
carta de esta prisión
guárdala en el corazón
consérvala mientras vivas
Si alguien de mi amistad
pregunta por mi salud
dile que en mi esclavitud
me falta la libertad
Madre si tú me vieras
metido en este rincón
te daría compasión
por mi llanto vertarías
Por la larga separación
madre no me olvides
que yo me acuerdo de tí
madre de mi corazón
Y ahora madre querida
yo me despido de tí.
Piensa que eres para mí
siempre eternamente amada.
Por la Associació de Familiars de Represaliats pel Franquismo
(Ap. Co. 153, 17600 Figueres)
extraído de SOLIDARIDAD OBRERA, órgano de expresión de la CNT-AIT de Catalunya i Balears

21 noviembre, 2005

CNT recuerda el 69 aniversario de la muerte de Buenaventura Durruti en el frente de Madrid, durante la Guerra Civil española


El 20 de noviembre de 1936 muere Buenaventura Durruti en el frente de Madrid, en plena Guerra Civil española (1936-1939). El día 22 es trasladado a Barcelona, y es enterrado el 23 de noviembre. Su cortejo por las calles se convierte en una inmensa manifestación de duelo y de rabia. Según la prensa del día, se congregan más de medio millón de personas alrededor de su ataúd, cubierto con la bandera confederal.

"Aun cuando ustedes ganaran, iban a heredar montones de ruina"

19 noviembre, 2005

CeNiT nº 968: EN ESTE DÍA


EN ESTE DÍA...............18 de octubre (selección)
Por Cal Andino
...
Año 1908.- el desgobierno de Bruselas, cuyo jefe es Schollaert, obtiene del parlamento la anexión del Congo cual si fuera provincia belga. De los esclavos hace también ciudadanos belgas, pero sin dejar de ser esclavos. (No hay hombre en la Tierra, sólo animales que , por mucho, desean ser hombres)
...
Año 1942.- En las cámaras de gas nazis asesinan hoy a Víctor Pellisa, edad 46 años, natural de Fabara, Zaragoza.
...
Año 1958.- La prensa cato recuerda hoy que en 1878, muerto el Papo, la población de St. Laurent por la noche echa el cadáver fuera del cerco donde estaba y después quiere echarlo al Tíber. (No sabía ese Papo que la biblia dice: por sus obras y no por sus prédicas, los conoceréis, sentencia que vale para papos y papas)

CeNiT nº 968


EDITORIAL
CARTAS DEL EXILIO
De Félix Álvarez Ferreras
Con esfuerzo indiscutibles y sobre todo con entusiasmo por el valor específico del mismo, la Fundación de Estudios Libertarios Anselmo Lorenzo, Pº Alberto Palacios nº 2, 28021 Madrid, España, viene a editar e imprimir un libro de órdago, de cerca de 600 páginas de interesante y muy amena lectura en donde se destacan nombres de una multitud de ilustres escritores libertarios muy conocidos en nuestros medios libertarios internacionales dando sus conocimientos talentosos sobre el ideal que nos hace vivir y luchar por él sin sosiego.
“Una cuidadosa selección de cartas recibidas, esa es la forma que elige Felix Álvarez Ferreras para presentar la segunda parte de sus memorias que se extienden desde 1963 hasta 1975 años en los que reside en Canadá. Estamos así, ante una original elaboración sobre la vida propia, en la que se escuchan las voces ajenas. Las voces de quienes entran en su casa a través del buzón y forman parte del devenir del hogar. Y tratándose de una época de exilio, se refiere a presencias que llegan desde varios continentes. Según diremos, la recopilación vio la luz en 1975, en la serie Epístolas de libertarios ilustres... que el propio Félix elaboraba, si bien en tirada reducida. En este libro una cantidad de hermosas fotografías aparecen entre las que se destacan la de Víctor García (Germinal Gracia), Juan A. Álvarez, Sol Ferrer, Rosario Alcón, Manuel Martínez Alarcón, Juan Sánchez (el pelao), Tomás Cano Ruiz, Francisco Ferrer y Guardia, José Planas, José Ledo Limia, Francisco Deogracia, Hermoso Plaja su compañera Carmen Paredes y nietos, Lilly Raymond, Eugen Relgis, George Wookook y otras más.
La cubierta del libro reproduce la imagen de Giusepe Galcerano gran escritor italiano de concepciones libertarias bien definidas y entusiasta de los escritos de Félix Álvarez Ferreras.

Viday Acraciap Aratodos

Este obra imprescindible puede solicitarse a través del correo del blog:
cenitdigital@hotmail.com que transmitirá al autor el pedido.

18 noviembre, 2005

La CNT ante, frente, contra la LOE

La nueva Ley Orgánica de Educación es un parto prematuro, una solución precipitada para derogar los aspectos ideológicamente más conservadores de la vigente Ley de Calidad, aprobada a caballo de la ola reaccionaria de la última legislatura de José María Aznar, tan ajena a los intereses y las posiciones de la sociedad española que le ha costado al Partido Popular la mayoría parlamentaria.
La premura por aprobar una nueva ley ha provocado, en primer lugar, la falta de un debate tan amplio como sereno en el seno de la comunidad educativa. Una ley tras otra, los partidos políticos parlamentarios y los expertos teóricos sacan fuera del debate educativo a sus verdaderos protagonistas: los alumnos y, sobre todo, los profesores. Las expectativas despertadas por la solicitud del Ministerio de Educación para que los trabajadores de la enseñanza participásemos con nuestras opiniones en la elaboración de esta ley, se vieron frustradas cuando el Consejo de Ministros aprobó este proyecto en las vacaciones escolares, cuando la respuesta organizada desde colegios e institutos ya no era posible.
Por otro lado, las carencias del debate y la urgencia en la elaboración de la nueva ley van a provocar, irremisiblemente, la publicación en el Boletín Oficial del Estado de un espantajo que, lejos de aportar soluciones, va a llevar el caos normativo al sistema educativo. Conscientes el PSOE y sus aliados sindicales del fracaso de la LOGSE, pero incapaces de romper con la visión roussoniana de la realidad escolar, no han tenido margen para recuperar la LOGSE en su integridad ni valor para acometer una reforma en profundidad del sistema educativo.
Y sin embargo, los que convivimos día a día en las aulas no podemos esperar más; es imprescindible realizar un gran acuerdo social que defina un nuevo modelo educativo que acabe con el fracaso escolar y con la pasividad de los alumnos, que está provocando una violencia creciente entre los estudiantes y una respuesta represiva de las administraciones públicas que están transformando a los centros educativos en cárceles de máxima seguridad. Desde la Federación de Enseñanza de la CNT exigimos un Pacto de Estado que defina el nuevo marco general del sistema educativo, al margen de los cambios coyunturales de gobierno, y que devuelva el protagonismo a profesores y alumnos.
Mientras tanto, hay elementos de la LOE que nos preocupan muy especialmente. El primero es la continua presencia de la religión en la escuela pública. Como ha demostrado la vociferante oposición de la Iglesia Católica, que "/no deja de ladrar su rencor por las esquinas/" como dijo aquél, la táctica de aplacar a los sectores clericales de la sociedad española, cada vez más minoritarios y cada vez más integristas, ha fracasado. Exigimos que, de una vez por todas, se reconozca que la formación religiosa no es científica por dogmática, no es formativa sino catequística, y más que una asignatura es pura propaganda. Ha llegado el momento de que los que desean recibir adoctrinamiento religioso no coarten la libertad de los que no lo solicitan o lo desean circunscrita al ámbito de familias y templos. Es tiempo de que los periodos lectivos asignados a la religión, o a su forzada alternativa, se destinen a incrementar la carga horaria de las asignaturas básicas.
Otro aspecto de la LOE que nos parece prioritario modificar es la Educación Infantil. Es imprescindible que se reconozca, sin margen de error, el carácter educativo de este tramo y se aleje toda posibilidad de convertirlo en puramente asistencial. La reciente escolarización de los alumnos de 3 a 6 años es un avance irrenunciable y debe sentar las bases del aprendizaje obligatorio posterior; por eso mismo, no puede obedecer a una estrecha visión asistencial y complementaria. En esta misma línea, y para subrayar la importancia de la Educación Infantil, es fundamental para el futuro del sistema escolar que no se conceda ni un solo concierto educativo en este tramo. Las administraciones públicas deben ser capaces de gestionar por sí solas toda la Educación Infantil.
El tercer motivo de especial preocupación para la Federación de Enseñanza de la CNT es el mantenimiento de los conciertos educativos. Las profundas mutaciones que está viviendo la sociedad española en los últimos años están poniendo aún más de manifiesto que la red de centros concertados es un sistema educativo paralelo y marginador, que aísla a sus alumnos en guetos cerrados: con los impuestos de todos se están pagando los privilegios de unos pocos. La motivación, fundamentalmente económica, de las empresas educativas, laicas y religiosas, se comprueba con un simple análisis de su distribución geográfica: huyen de las Comunidades Autónomas más desfavorecidas, de los barrios marginales de las ciudades y del ámbito rural. En algunas ocasiones, para acabar con los conciertos educativos bastaría con hacer cumplir la ley, penalizando a los colegios que cobran dinero irregularmente a los padres, una práctica muy extendida pero hipócritamente ignorada por las autoridades educativas.
La participación activa de los trabajadores en la gestión de los centros sigue ausente. Los retrocesos sufridos con los últimos gabinetes de Felipe González, puestos de manifiesto con la llamada Ley Pertierra, y en la época del Partido Popular, no han sido enmendados. Las actuales atribuciones del director, que hoy es elegido al margen del claustro, y del resto de cargos unipersonales deben ser rebajadas en beneficio de una gestión cada vez más colectiva de los centros de enseñanza; se está exigiendo a los profesores un compromiso cada vez mayor con unas decisiones de las que cada vez se sienten más apartados. La necesaria autonomía de colegios e institutos debe ir acompañada de su autogestión por los propios trabajadores, como garantía de que se ofrece un auténtico servicio público y no una administración personalista o partidista.
La Federación de Enseñanza de la CNT sigue apostando porque educar sea algo más que "domar, adiestrar y domesticar" como denunciaba Francisco Ferrer i Guardia hace ahora un siglo. A pesar de la LOE, seguiremos luchando por ello.
Para más información, Federación de Enseñanza CNT: Tlf: 610 642 931.

16 noviembre, 2005

CENIT de Noviembre


La otra Cómuna de París
La Globalización ha saltado en pedazos. Atónitos los amos del mundo temen por sus privilegios, que se contagie la rabia por doquier. ¿Qué pasaría en este mundo si las personas se dieran cuenta de que los seres humanos valen mucho más que los cachivaches, y actuaran en consecuencia? Todo se iría al carajo, no cabe duda.

El proletariado del siglo XXI son esos africanos de las pateras o esas mujeres que, a su manera, resisten al patriarcado ancestral de todas las religiones. Son esos mexicanos que cruzan la frontera y son cazados como conejos. O esos bolivianos que arriban a Buenos Aires y son tratados como bestias. El proletariado del siglo XXI es el extranjero, el que nadie sabe dónde nació. Por eso ya el anarquismo –la esperanza de los apátridas y de los ateos- no es una cuestión de libros sino de espíritus. No es libresco es espiritual. Se acabaron las etiquetas, sólo queda la acción. La acción directa, digo.

Una mujer como pocas es la autora de los destrozos de Francia, de Berlín. Se llamaba Rosa Luxemburgo y fue asesinada a patadas por la soldadesca alemana, en una época de la cual ya nadie se recuerda. Fue ella catalogada de neoanarquista porque reivindicó la espontaneidad por encima de las formas. Fue la misma que, desde la cárcel, anunciaba el torbellino autoritario que oscurecería a la revolución rusa de 1917.

La Comuna de 1871 fue la prueba de fuego de la Primera Internacional de 1864. Hoy no hay Internacionales que valgan. Sólo hay servicios secretos, la CIA, el Mossad, James Bond y sus chicas. Puede ser que tras los acontecimientos últimos esté Israel; aparte de inteligentes y tercos, los judíos son maquiavélicos, de eso saben algo los palestinos y los clientes de los bancos suizos.

Puede ser que sea Al Qaeda que, a esta altura de los tiempos, nadie sabe si existe o fue inventada por el Pentágono. O los iraníes: sí, claro, los iraníes, que son chiítas, algo así como anarquistas del Islam. O los chinos; que aunque los guerrilleros de las noches de Paris son negros seguro que son “agentes del peligro amarillo”. No dudaría que algún emir o un jeque saudita esté detrás de todo esto, claro, buscan la ruina de Europa.

¿Y si agentes de la CIA, “monitores” como los llaman, hubieran azuzado la guerrilla postfordiana del Paris del siglo XXI? Postfordiana digo por Henry Ford, ese camarada que diseñó la primera tragedia de la especie humana: el automóvil. Este cacharro puso la velocidad a nuestros pies; pero nos quitó la tranquilidad de las charlas vespertinas en una plaza de arboledas. El sosiego del amor de pareja devino en el coito automovilístico; el amor dejó de ser el amor para convertirse en una descarga del encendido del coche. Sucedáneo del falo, el automóvil resume todas nuestras desgracias: nos quita tiempo pero acorta las distancias, la paradoja de las paradojas. ¡Henry, camarada, tu muerte será vengada!

En las ciudades satélites de las capitales del mundo –Paris es, casi, el mundo- se amontonan las esperanzas de los trepadores de las pirámides sociales y los caídos sin ninguna esperanza. Se amontona allí lo que fuimos y lo que jamás seremos. Pasa de mano en mano el hachís y la cocaína, la música ruidosa y el ruido que parece música, la cerveza caliente y el trago de ron del desespero. El vino y el whisky son para casos sin remedio. Salen las chicas a vender sus cuerpos y los chicos sus manos. Los barrios marginales están llenos de callos en el alma, de deseos inmensos de disfrutar de la vida en paz y ganas, muchas ganas, de igualdad entre los seres humanos.

La desigualdad, y eso se sabe desde los tiempos de los griegos de Sócrates, se basa sobre la represión; tolerancia cero o infinita, lo que usted quiera, pero la represión no es la figura de la represión sino el sistema de la represión, el sistema del salario que, como ya sabemos, sustituyó al sistema de la esclavitud. ¡Ayer, esclavos; hoy, negro de los suburbios! Espartaco, cuánta falta nos hace.

La Europa del siglo XXI se ha quedado boquiabierta. Nadie se lo cree, pero todavía hay proletarios; no se han acabado esos pedigüeños que hablan de derechos, de seguridad social, de qué sé yo, ese discurso que gente patricia no entiende. ¡Proletarios, válgame dios, en la alborada del siglo XXI! ¡Qué antigualla! Por favor, piden los burgueses a sus científicos, aceleren lo de los clones, queremos clones no proletarios. Los proletarios serían aceptables si no tuvieran dignidad. Pero la dignidad es algo propio de los bajos fondos como para que la entienda gente tan culta como un ministro francés. La dignidad es cosa de plebeyos. Luis XVI lo supo el 21 de enero de 1793, el día que fue guillotinado.-á

Floreal Castilla
Noviembre de 2005

Un entretien avec Juan García Oliver


Freddy Gomez
Un entretien avec Juan García Oliver
réalisée en juin 1977, A contretemps n°17 de juillet 2004

Interview passionnante et réellement surprenante sur plusieurs éléments (Los solidarios, mai 37, le point vue de Garcia Oliver sur le ministérialisme cénétiste, etc...). Mieux vaut ne pas croire sur parole tout ce que nous dit Garcia Oliver (et surtout ce qu’il ne nous dit pas), mais cette interview a un réel mérite à aborder des aspects inédits, certes personnels et subjectifs, de l’anarcho-syndicalisme espagnol et de la Révolution. Au lecteur de se faire son point de vue. Tiré d’A Contretemps n°17.
BAROUX Sébastien

La rencontre avec Juan García Oliver eut lieu à Paris, en juin de l’année 1977. De passage dans la capitale pour superviser les épreuves de ses mémoires, il me fut présenté par son éditeur, José Martínez. Le premier contact eut pour cadre un restaurant de la rue de Bièvre. Là, García Oliver m’apparut comme une sorte de fantôme nimbé d’histoire. C’est que l’homme, d’abord assez froid, semblait tout droit sorti d’un arrêt sur image. Comme si, au qua-rantième anniversaire d’une révolution presque oubliée, un de ses principaux protagonistes avait résisté au passage du temps et à ses effets sournoisement correctifs. Etrangement, le García Oliver de ce printemps 1977 était, physique mis à part, le même que celui qui, dans les années 1930, avait fait trembler, avec un semblable aplomb, la société espagnole et - pourquoi le taire ? - quelques anarchistes et syndicalistes de renom, que son
« catastrophisme » inquiétait.

15 noviembre, 2005

Las muertes por accidente laboral aumentan un 10% en los primeros nueve meses de 2005


En los primeros nueve meses de este año, 770 trabajadores han perdido la vida en accidente laboral. La cifra ha aumentado un 10% respecto a 2004. La pasividad del Gobierno ante esta tragedia y la voracidad de los empresarios son los principales responsables de este aumento.Los accidentes laborales no son un mal irremediable. Tienen unas causas claras: cadena de subcontrataciones, precariedad laboral, jornadas laborales de más de 10 horas diarias, incumplimiento por parte de los empresarios de las mas elementales medidas de seguridad, insuficiente formación en prevención de riesgos laborales, etc.En el sector de la construcción, sector especialmente castigado por la siniestralidad, el número de accidentes laborales mortales ha aumentado casi un 30%, la mayoría de estos accidentes son por caídas a distinto nivel, accidentes estos fácilmente evitables si los empresarios pusieran las medidas de protección colectiva que exige la Ley.
Desde la CNT entendemos que para acabar con esta terrible lacra social es necesario:
+ Regular y limitar legalmente las Subcontratas+ Limitar las modalidades de contratación y terminar con el fraude del encadenamiento de contratos temporales+ Prohibición de los destajos+ Reducción de la Jornada Laboral sin perdida de sueldo para los trabajos potencialmente más peligrosos (trabajos en andamios, tejados, encofrados, zanjas profundas etc.)

10 noviembre, 2005

"La Protesta Obrera" portavoz de la C.N.T. de L´Hospitalet de Ll.


SE PREPARA UNA NUEVA REFORMA LABORAL
Por la prensa hemos podido enterarnos de que gobierno, "sindicatos" y patronal han comenzado a hablar de la necesidad de una nueva reforma laboral. Se están publicando pequeñas notas con cuentagotas, donde se dan detalles sobre los aspectos que podría tratar esta nuevo cambio en las leyes que rigen el mercado laboral. Parece ser que se habla de recortar la indemnización por despido improcedente de 45 días por año trabajado a 33 días, de modificar el cómputo para la prestación por desempleo y la jubilación, facilitar el despido "por razones objetivas", darle más prerrogativas en cuanto a contratación a lo que ellos llaman asépticamente "agencias privadas de colocación"(es decir, ETT’s)... es decir, abaratar los despidos (todavía más), reducir las cotizaciones a la seguridad social y regalarle la gestión de todo tipo de contratos a las ETT’s (generalización de la precariedad laboral).
La patronal opina que no será suficiente con estas medidas, los sindicatos, con la boca bien pequeña, dicen que "no están dispuestos a aceptar la rebaja del despido" (cosa que sería una novedad por que hasta ahora lo han aceptado y firmado absolutamente todo, y estamos hablando de 4 reformas laborales...que se dice rápido) y el gobierno, entre la espada y la pared, que quiere quedar bien tanto con sus amos de la patronal como con sus clientes de los "sindicatos mayoritarios".
Todo esto se está hablando mientras en la actualidad nos encontramos con que en el estado español el despido es prácticamente libre (en caso de despido improcedente las empresas no están obligadas a readmitir), la contratación en fraude de ley está a la orden del día, el pago de parte del salario en negro se está generalizando (con el consiguiente peligro de quiebra del sistema público de pensiones), la contratación en precario(temporal y con poca cotización) se usa para cubrir puestos de trabajo fijos... y por otra parte los beneficios de las grandes empresas y de los bancos crecen de forma espectacular y vergonzosa. Nunca tan pocos habían ganado tanto dinero a costa de tanta gente.
Y es que vivimos en el "paraíso empresarial": salarios bajos, recorte de derechos a nivel local (en la mayoría de la pequeña y mediana empresa ni siquiera se cumplen los convenios, y algunos ya de por sí da vergüenza leerlos), las empresas pagan cada vez menos impuestos, reciben grandes cantidades de dinero público en forma de subvenciones (muchas veces de forma fraudulenta), se hace la vista gorda con el blanqueo de dinero....
Así que cualquier trabajador/a un poco atento/a no puede evitar pensar: "Y ahora ¿qué nos quieren quitar?"
L@s trabajador@s de la CNT de L’Hospitalet lo tenemos claro: se trata de otra vuelta de tuerca más. El intento definitivo de exprimirnos a tod@s para sacarnos más beneficios con que poder pagar sus mansiones, clubes de golf, y fiestas privadas.
El espectáculo promete ser lamentable: desde apretones de mano entre "sindicatos" y patronal, hasta falsas amenazas de movilización por parte de aquellos que viven del dinero que les da el gobierno...
Nosotr@s creemos que no podemos dejar que esta gente siga riéndose en nuestra cara... si permitimos que salga adelante esta insultante propuesta ¿qué será lo siguiente? ¿Rebajar las pensiones? ¿repartírselas directamente como buenos amigos que son? ¿rebajas generalizadas de salarios?
Nosotr@s no nos vamos a quedar con los brazos cruzados. Vamos a seguir desenmascarando a los delincuentes patronales y sus lacayos del gobierno y de los mal llamados "sindicatos mayoritarios". Este atentado a la dignidad de la clase trabajadora no puede salir adelante. Debemos parar este complot de vagos y ladrones. Hay que salir a la calle ya...por que si no harán lo que les venga en gana y encima lo harán en nuestro nombre por arte de "elecciones sindicales". Si no trabajan por nosotr@s...¿porqué hablan por nosotr@s?
Ellos lo llaman "flexibilidad"... nosotr@s lo llamamos atraco a mano armada. ¿por qué no "flexibilizan a los ejecutivos de las empresas? ¿o a los inversores y accionistas?
Entre tod@s debemos fortalecer nuestra herramienta de defensa: EL SINDICATO. Y pelear para no perder ni uno más de los pocos derechos que nos quedan. Hay mucho en juego. Nuestro futuro

Quién siembra la miseria recoge la ira...


DESOBEISSANCE ! RESISTANCE !
jeudi 10 novembre 2005
CONTRE LE TOTALITARISME, DESOBEISSANCE CIVILE MASSIVE !
Il y a quelques jours l’Etat déclarait illégale la grève des transports marseillais.
Mardi 8 novembre il décrète l’Etat d’urgence.
Devant les revendications des salariés, devant la colère des populations de banlieues, l’Etat ne se soucie pas de satisfaire les aspirations légitimes des ouvriers et des jeunes, il défend le capitalisme.
Quand personne ne croit plus aux promesses des politiciens et aux mensonges des médias, quand les matraques et les prisons sont insuffisantes à maintenir l’ordre des marchands de misère et de mort, quand tout cela ne suffit pas se dresse alors le spectre du totalitarisme.
La mascarade du vote Chirac, soit disant rempart contre le fascisme, trouve maintenant sa conclusion.
Ce que nous n’avons pas su faire en 2002, ne pas voter et lutter, il nous faudra le faire en 2005.
La défense de la liberté et de la dignité humaine sont trop importantes pour la laisser aux politiciens.
DESOBEISSANCE !
RESISTANCE !
Des militants anarcho-syndicalistes de l’Association Internationale des Travailleurs (AIT)
Lyon, le 8 novembre
Couvre-feux, remise en cause du collège unique REVOLTANT !
Face à la révolte des jeunes issus des classes populaires, le gouvernementpoursuit dans la surenchère sécuritaire et policière.Nous savons tous que cette révolte est le fruit d’une importantedégradation sociale orchestrée par les gouvernements successifs, etconcentrée dans les banlieues, depuis de nombreuses années : chômagemassif, accroissement inexorable de la précarité, appauvrissement d’unepart toujours plus grande de la population, conditions de logementsdégradées, violences policières à répétition couvertespar l’Etat.Qu’offrent ces politiques successives aux jeunes ? Du mépris et undéterminisme social que l’école seule n’a pas les moyens d’enrayer. Comble du mépris et de l’ironie, la réponse principale faite à ces jeunesest une loi de 1955 utilisée pendant la guerre d’Algérie. Le gouvernementdit faire appel à cette loi pour utiliser une de ses dispositions :l’imposition de couvre-feux qui sont une véritable atteinte aux libertésindividuelles. Plus inquiétant encore des dispositions de cette loipermette d’accroître les pouvoirs de la police et des préfets(perquisition la nuit, interdiction de réunions, de soirées ….)De plus les déclarations de Villepin sur l’école , au lieu d’êtreporteuses d’espoir pour ces jeunes, deviennent un prétexte pour appliquerles aspects les plus rétrogrades de la loi Fillon, déjà unanimementrejetée par l’ensemble de la communauté éducative. En souhaitant instaurerl’apprentissage dés 14 ans, le gouvernement veut revenir sur l’obligationde scolarisation de tous les jeunes jusqu’à 16 ans, ceci s’accompagnantinévitablement de la fin du collège unique et de la casse du code dutravail qui interdit l’emploi de jeunes de moins de 16 ans. Le collègeunique, loin de bénéficier des moyens à la hauteur de ses projets, al’ambition de tenter d’enrayer le déterminisme social et de faire accédertous les jeunes à un même niveau de culture.Le premier ministre reconnaît également que les baisses importantesd’aides aux associations a été une erreur et souhaite la corriger. Outreque ces promesses doivent être suivies d’effets, les choix de sociétéfaits actuellement doivent être revus : il faut cesser de brader lesservices publics dont les populations défavorisées sont les premièresbénéficiaires, de précariser davantage le travail comme c’est le cas avecle contrat nouvelle embauche, et de radier toujours plus de chômeurs.Ce n’est pas la « gauche actuelle », en proposant d’incantatoires «soirées d’espoir » qui a la volonté de faire changer les choses. Dans nosécoles, et pour les parents d’élèves, la CNT-FTE, continuera de militerpour un changement radical de société et en attendant se battra pour plusde justice, des emplois stables, des salaires décents, des horaireshumains pour les parents, des logements convenables, la fin d'unquadrillage policier contre-productif, des services sociaux à la hauteurdes besoins, et une école réellement émancipatrice.
Le secrétariat fédéral de la CNT-FTE

08 noviembre, 2005

Declaracion de Chixoy, Guatemala.


Red Latinoamericana contra las Represas y por los Ríos , sus Comunidades y el Agua:
DECLARACION DE CHIXOY
17 al 21 de octubre de 2005
Colonia El Naranjo..Cubulco..Baja Verapaz..Guatemala
Desde las tierras de Chixoy, rio que en sus aguas lleva la sangre de 444 campesinos, pueblos originarios, indigenas, mujeres, jovenes, ninos y ancianos guatemaltecos que resistieron la construccion de la represa y fueron masacrados en 1982 por el aparato represivo militar; 418 representantes de pueblos indigenas y negros, de mujeres, organizaciones sociales, ambientalistas, religiosas, campesinas, de derechos humanos,> sindicalistas, universidades y medios de comunicacion alternativos de 14 paises de America Latina e invitados de 6 paises de America del Norte, Europa y Japon; se solidarizan con los hermanos del continente americanoque padecen la exclusion y los danos de los ultimos huracanes, clara muestradel cambio climatico global al que las grandes represas contribuyen y cuyos responsables principales son los paises 'desarrollados'. Considerando que la insaciable acumulación de riqueza del sistema> capitalista y equivocados modelos de desarrollo ha llevado a detener la sangre y las venas de nuestro planeta represando el 60% de sus ríos. Resultado de esto son mas de 80 millones de desplazados, miles de muertos y destrucción de ecosistemas únicos con la construcción de 45 mil represasen el mundo. Las Instituciones Financieras Internacionales y las grandes corporaciones trasnacionales se han enriquecido a costa delempobrecimiento y exclusión de millones de personas, además han generado impactos ambientales irreversibles que han repercutido incluso en el cambio climático. Actualmente, esta situación se profundizará con la firma del Acuerdo de Libre Comercio de las Américas (ALCA) y Tratados Bilaterales de Libre Comercio, los procesos de privatización de los servicios públicos y los planes de integración regionales como el Plan Puebla Panamá (PPP) yla Iniciativa para la Integración de la Infraestructura Regional Sudamericana (IIRSA)...
DECLARAN.
1. Apoyar la denuncia contra el Gobierno de Guatemala ante la Corte Interamericana de Justicia por su complicidad con el silencio y la falta de esclarecimiento ante las torturas y asesinatos brutales acontecido en1982, de pobladores que reclamaban sus derechos, así como la ausencia de reparos por danos ocasionados por la presa.
2. Promover que los países de Latinoamérica firmen un Convenio que descriminalice las luchas sociales y ambientales que se llevan a cabo.
3. Unificar el reclamo de la deuda ecológica y social acumulada que debena los pueblos de América Latina, las Instituciones Financieras Internacionales, los gobiernos nacionales y las empresas que sebeneficiaron con la construcción de represas.
4. Reafirmar la voluntad de fortalecer las organizaciones locales, regionales e internacionales de pueblos afectados por la construcción de represas para que sean protagonistas de su propia historia.
5. Fortalecer las alianzas entre diversos sectores buscando la formaciónde> frentes amplios contra las mega-represas en todos los países de América> Latina, reafirmando el valor de la presencia de amplios sectores de las Iglesias de distintos credos, las cosmovisiones de los pueblosoriginarios, autoridades locales, medios de comunicación alternativos, mujeres y jóvenes en las luchas sociales.
6. Fortalecer la lucha que se ha iniciado en muchos de nuestros países por la no privatización de la energía y el agua a favor de empresas multinacionales.
7. Mantener las campanas de denuncia y presión al Grupo del Banco Mundialy el Banco Interamericano de Desarrollo por su responsabilidad en el> financiamiento de proyectos destructivos.
8. Fortalecer y promover acciones contra las Instituciones Financieras, empresas trasnacionales como ENDESA, UNION FENOSA, SUEZ, VIVENDI y contra los gobiernos que defienden sus intereses, que propendan por una Justicia Ambiental en todos los megaproyectos hidroeléctricos en operación o en construcción.
9. Hacer respetar la voluntad de los pueblos de Costa Rica, Guatemala y Argentina que ha manifestado mediante plebiscito el rechazo a la construcción de las hidroeléctricas de Paquare, Río Hondo y CorpusChristi.
10. Apoyar las distintas acciones legales contra los danos ocasionados por las represas, promovidas por pueblos de Paraguay, Guatemala, Brasil ytodos los países de América Latina ante instancias nacionales e internacionales como la Corte Interamericana de Justicia.
11. Reconocer los logros en Chile y la libertad a sus ríos de 5 represas,a Ecuador de 2 represas, en Panamá de 7 represas, en Argentina la Ley que declara territorio libre de represas a la provincia de Entre Ríos, a Costa Rica de 5 represas en el río Paquare, la suspensión de la presa Itzantun y la actual lucha contra la presa La Parota en México que es esperanza deotro río y pueblo liberados, la libertad del Paraguay de leyes de privatizacióny la detención de la privatización del agua en El Salvador y Nicaragua.
12. Reafirmar el 14 de marzo como Día Internacional de Acción Contra la Represas y convocar a los pueblos para que se movilicen en esa fecha. Convencidos de que el trabajo mancomunado se fortalece cada vez mas, seguimos de pie proponiendo un modelo diferente, de la mano con lospueblos y los bienes de la naturaleza. Ríos libres para pueblos libres! Aguas para la Vida no para la muerte!
Participantes de. Argentina, Brasil, Colombia, Costa Rica, Chile, Ecuador, El Salvador, Guatemala, Honduras México, Nicaragua, Paraguay, Panamá, Uruguay.
Pueblos originarios y Naciones Indígenas.
Invitados de: Austria, Canadá, España, Estados Unidos, Italia, Japón

07 noviembre, 2005

Pour un athéisme de combat


Infos & analyses libertaires n° 56:
Pour un athéisme de combat - Religions, un fléau toujours d'actualité - Laïcité d'Etat, Etat de la laïcité - La loi de 1905, mise en perspective historique - Le lieux de mémoires de la République sont-ils les nôtres ? - Femmes, féminismes et religions:
http://www.c-g-a.org/download/infos/infos56.pdf

México, ACL : las elecciones son cuestión de los patrones


¡Más de 13 mil millones de pesos para mantener la desigualdad social!
La clase trabajadora debe de reunirse, de organizarse, de discutir y debatir sobre sus problemas mas concretos e inmediatos, así como de las cuestiones sociales de importancia que la involucran como clase, y además, debe de tomar acciones con respecto a lo debatido, en pocas palabras, los trabajadores deben de hacer política. Sin embargo, hay que dejar algo muy claro: Hay de política a política. La cuestión política va fuertemente ligada a la cuestión económica, de hecho, todo programa o proyecto político está determinado por la organización económica de la sociedad. La política que estamos acostumbrados a ver día a día, es la política de los parásitos políticos profesionales, que compiten por medio de partidos para tomar el poder político por un periodo determinado de tiempo. Pero lo verdaderamente importante de todo esto, es que toda esa política> es llevada a cabo en medio de ciertas condiciones económicas que rigen a toda la sociedad. Toda esta política de procesos electorales y partidos políticos se desarrolla sobre la base de la explotación económica de una clase sobre otra y mientras la sociedad se encuentre organizada de tal manera, en la que unos poseen exceso de riquezas y la gran mayoría solo cuente con el trabajo de sus brazos para poder, a duras penas, ganarse la vida, podremos asegurar que ni la supuesta mejor propuesta política,> acabará con los problemas reales de la clase proletaria. Veamos todo esto analizando las elecciones presidenciales en México el siguiente año. La relación estrecha entre la explotación capitalista y el sistemaelectoral. Desde hace ya algunos meses, en México han comenzado a operar fuertemente las campañas electorales, los precandidatos de los diferentes partidos han gastado ya millones de pesos en propaganda en medios de comunicación, y lo que han gastado hasta el día de hoy, es sólo un porcentaje mínimo, comparado con lo que gastarán durante el año siguiente. Podemos afirmar, seguros de que no hay ningún riesgo de equivocarnos, que para nuestros fines, como lo son el triunfo de la clase trabajadora y la de toda la humanidad oprimida junto con ella, ni un solo peso de esas exuberantes cantidades que se gastan, servirá para conquistar dichos fines. Gane quien gane en las próximas elecciones, algo está asegurado de antemano: La explotación y la desigualdad quedarán en pie. ¿Pero entonces, por que es que el Estado y la burguesía (a través de todas sus organizaciones patronales) invierten tantos recursos en el mantenimiento y el perfeccionamiento del sistema electoral, si realmente las elecciones no cambian absolutamente nada de fondo? Ah, es que precisamente es eso lo que a los señores burgueses les interesa, que no cambie absolutamente nada, por eso es que invierten miles de millones de pesos en fomentar la "lucha" electoral, porque mientras las cosas sigan establecidas como hasta hoy, tendrán garantizado el derecho de explotar el trabajo obrero, del cual generan sus altísimos márgenes de ganancia, o para expresarlo de una manera mas sencilla, sus riquezas. Lo mas absurdo de toda ésta historia, es que todo el circo electoral, enfocado a engañar a la clase trabajadora, es mantenido con los impuestos> que pagan los propios trabajadores al Estado. Quizás haya alguien que nos diga qué éste argumento no es totalmente valido, ya que también la clase de los privilegiados y explotadores paga impuestos. Es cierto, ambos, los patrones que viven gracias a su propiedad, y los proletarios que viven gracias al propio trabajo de sus brazos, pagan los impuestos correspondientes, la gran diferencia está en que mientras la clase dominante de los patrones contribuye a mantener su propio sistema "democrático", el proletariado, la clase de los trabajadores de las> ciudades y de los campos, paga con sus impuestos un sistema que está completamente en contra de él. El sistema de "democracia representativa", que se ejerce a través del sufragio electoral, es el sistema por excelencia de la clase dominante empresarial, puesto que con este sistema, encubren la verdadera dictadura de su clase parasitaria sobre la clase de los trabajadores. La explotación económica, basada en la propiedad privada de los medios de producción, acompañada de una forma política parlamentaria, con la competencia entre partidos políticos en elecciones, es la combinación perfecta para los patrones, ya que la dominación queda perfectamente encubierta; se les dice a los explotados, a través de una campaña ideológica en los medios de masivos de comunicación (en manos también de burgueses) que cuentan con la perfecta "libertad" de elegir a sus "representantes". Como vemos, la clase dominante cuenta con muy buenas razones (para sus intereses de lucro, obviamente) para bendecir la farsa electoral. El gran revolucionario internacionalista Miguel Bakunin, decía que los gobiernos surgidos del sistema parlamentario electoral eran demasiado peligrosos, en tanto que se nos presentan como la mas pura expresión de la "voluntad popular". También, con respecto al sufragio universal, el compañero Bakunin decía: "Lo que afirmamos es que el sufragio universal, considerado en sí mismo, y obrando en una sociedad sobre la desigualdad económica y social, no será nunca para el pueblo más que una trampa; que de parte de los demócratas burgueses no será nada más que una odiosa mentira, el instrumento más seguro para consolidar, bajo una apariencia de liberalismo y de justicia, en detrimento de los intereses y la libertad> populares, la eterna dominación de las clases explotadoras y posesoras". Dentro del panorama político burgués en México, existen ciertos partidos políticos que se autoproclaman como los representantes de la clase trabajadora y de las masas pobres del campo y la ciudad. Estamos hablando del PRD y del PT; pero muy lejos de representar al campo de los oprimidos, estas agrupaciones son perfectamente funcionales al capital, compuestas por elementos completamente comprometidos con el funcionamiento del sistema capitalista. Andrés Manuel López Obrador, quien sin duda es el favorito para vencer en las elecciones presidenciales, ha logrado ganarse la simpatía de sectores de la clase trabajadora, a lo que nosotros declaramos que es un gran error de la clase ir detrás de un político abiertamente patronal, que en cada oportunidad que tiene, deja perfectamente en claro su buena relación con empresarios, entre ellos el más rico de Latinoamérica, Carlos Slim. Hay dos grandes razones para afirmar que los partidos mencionados no representan opción alguna para la clase trabajadora y los oprimidos. La primera es que su programa político es completamente compatible con la existencia del capitalismo, pues no plantea la destrucción de la base de la explotación y de todas las desigualdades: la propiedad privada. La segunda razón, es que la liberación total de los trabajadores, no es una> cuestión de partidos políticos, sino de su propia acción revolucionaria como clase social con el poder necesario para eliminar la explotación y la dominación del hombre por el hombre del mundo entero; explotación y dominación que defiende y sostiene el Estado. ¿Política burguesa ó Política Revolucionaria de los explotados? ¿Qué camino seguir? Pero ahora preguntémonos, ¿De todo lo anterior debemos de deducir que, como las elecciones burguesas son una trampa para los trabajadores, la clase proletaria debe de alejarse de la política, debe darle la espalda? No, absolutamente no. Como dijimos claramente en el primer párrafo de éste documento: Hay de política a política. Lo que nosotros afirmamos, es que la clase trabajadora debe de alejarse por completo de la política electoral burguesa, que la desvía del camino de su verdadera y plena liberación. Como decimos más arriba, ni las elecciones mas libres y democráticas del mundo, pueden acabar con la inmensa pobreza que existe en la sociedad, por la sencilla razón que se hacen en medio de la mas graves condiciones de explotación y desigualdad económica. El camino a seguir de la clase obrera, campesinos pobres, y en general de todas las masas excluidas del campo y la ciudad, es auto-organizarse, de manera completamente independiente de sus explotadores y opresores, no entrar en su juego, ni jugar con sus reglas, porque ese juego y esas reglas no son mas que un montón de trampas. En otras palabras, los trabajadores pueden y deben hacer política, pero una política revolucionaria, no para conquistar los puestos del gobierno, sino para transformar radicalmente el sistema económico, por un sistema nuevo, que le brinde a cada quien la oportunidad de desarrollarse en todos los ámbitos de la vida y le garantice el bienestar. Esa política verdaderamente revolucionaria, de los trabajadores empleando la solidaridad de clase, es la que necesitamos, porque es la única política que puede generar un cambio real, para acabar con la pobreza y> con las clases sociales. Como perfectamente lo dijera Bakunin: "¿Quién puede dudar que de esta organización cada vez más amplia de la solidaridad militante del proletariado contra la explotación burguesa debe surgir y surgirá efectivamente la lucha política del proletariado contra la burguesía?"

06 noviembre, 2005

LA VIOLENCE C’EST L’ETAT ET LA CAPITALISME !


LA VIOLENCE C’EST L’ETAT ET LA CAPITALISME ! SCÈNE DU RACISME ORDINAIRE EN BANLIEUE
dimanche 6 novembre 2005

27 octobre 2005, à Clichy, deux jeunes qui reviennent d’une par-tie de foot meurent à cause d’un contrôle de police. Ils ont pris peur. Pourquoi ? Parce que les contrôles de police dans les cités sont arbitraires, souvent violents, toujours humiliants et peuvent durer des heures, tout cela sans raison aucune. Zyad (17 ans) et Banou (15 ans) n’ont pas voulu subir cela. Ils en sont morts. Ils ont été immédiatement diffamés par le pouvoir et les médias qui ont mon-tré dans cette affaire, une fois de plus, qu’ils mentent en permanence.
Maintenant, politiciens et médias nous abreuvent sur la violen-ce dans les quartiers populaires. Mais où est la violence ?
La véritable violence, c’est les licenciements massifs qui réduisent les travailleurs à la misère. La violence, c’est la hausse incessante des loyers. C’est le coût de la vie qui nous empêche de satisfaire nos besoins les plus élémentaires (prix du gaz...). La violence, c’est les expulsions de femmes et d’enfants de leur logement. C’est quand la police vient dans les écoles embarquer des enfants "sans-papiers". La violence, c’est l’oppression étatique et économique.
Dans la situation de crise, de misère économique et sociale, d’oppression étatique qui nous excède tous, les jeunes qui se sont révoltés peuvent être l’étincelle pour une remise en question plus globale de cette société fondamentalement injuste. Il est grand temps de nous attaquer aux véritables causes de la violence que nous subissons. Partout, il faut élargir solidairement la lutte. Organisons, là où c’est possible, des rencontres, des manifesta-tions, des grèves contre la violence de l’Etat et du capital.

CNT-AIT
7 rue St Rémésy 31000 Toulouse
05 61 52 86 48
QUI SEME LA MISERE, RECOLTE LA COLERE
dimanche 6 novembre 2005

Oui la vie dans les cités c’est la violence au quotidien :
la violence de se voir refuser tout emploi alors qu’on a tous les diplômes nécessaires mais pas le bon profil ;
la violence de devoir enchainer mission d’intérim sur petits boulot, travail d’esclave payé des miettes ;
la violence d’être déjà en échec scolaire avant même d’avoir commencé ses études ;
la violence de s’entasser dans des taudis parce qu’il n’y a pas de logements ;
la violence d’un société où les femmes sont réduites à la putain porno ou à la maman cloitrée ;
la violence des brimades policières quotidiennes ;
la violence d’une société hypocrite qui ne laisse le choix qu’entre le communautarisme et la schizophrénie
Ce ne sont pas les "jeunes" qui sont violents, mais c’est cette société. Les médias, les hommes politiques, les acteurs sociaux nous disent qu’il faut leur redonner des repères. Mais lesquels ? Ceux de la loi du fric, de la compétition (et donc de l’exclusion), bref de la loi du plus fort ?
Ces jeunes, ce sont nos voisins, nos enfants, nos soeurs et frères. Ils ont raison de se révolter, de refuser de continuer à encaisser sans rien dire. Certes on peut toujours discuter des méthodes, mais il ne faut pas non plus oublier les manipulations et les provocations policières !
La révolte, c’est ce qui reste à ceux qui n’ont rien. C’est la dignité de celles etc eux qui refusent la résignation !
Mais pour ne pas rester sans lendemain, une fois la pression retombée, cette révolte doit s’organiser, se structurer. Devenir d’abord Résistance, car aujourd’hui l’ennemi est fort et puissant, puis mûrir et se transformer en Révolution. Car seul un changement radical de société pourra enfin en finir avec les injustices causes de nos problèmes actuels.

Syndicat Interco Paris Nord CNT AIT
contact@cnt-ait.info

Ha salido el nº3 de "Anarchist Atlanta" [en]


"Anarchist Atlanta" es el periódico mensual del Colectivo Capital Terminus (adherido a la NEFAC) creado para difundir noticias sobre los proyectos en los que estamos trabajando, campañas en las que participan nuestros miembros y noticias sobre la lucha de clases en nuestra región.
Éste es el sumario del nº3, correspondiente a noviembre de 2005:
Terrorismo de Estado desde Atlanta a Oaxaca
¡Cerrad la Escuela de las Américas!
Anarco-Comunismo de la A a la Z: la letra "C"
La resurrección de ciudad siete
Grupos de trabajo: Anti-reclutamiento,
Salud de la mujer,
Medios de comunicación
Bájatelo y distribúyelo: http://nefac.net/en/node/1976
El original en inglés: http://www.ainfos.ca/en/ainfos17291.html Traducción de A-infos

Le Combat Syndicaliste nº 301, novembre 2005


EDITORIAL

Oui! Vent de révolte! Insensiblement, nous sommes passes d´une époque d´accablement et de renoncement à un état intermédiaire, morose encore, mais déjà agressif.
Les “mouvements sociaux”, comme on dit pudiquement, ont désormais, une pugnacité que l´on ne leur connaissait plus. Qu´on en juge par des grèves que se porlongent sur plusieurs semaines, par des conflits où se met en pratique l´action directe, la réappropiation de l´outil de travail, l´indifférence aux rodomontades des autorités.
Même la logique des appareils bureaucratiques syndicaux est mise en échec: de plus enplus souvent, les salariés imposent leur vision des événements à leurs orgqnisations traditionelles. Et si celles-ci renâclent, pas de problème, on fait sans elles, en passant à la CNT, par exemple. L´entrevue avec les employé(e)s de Penauille-Lyon que nous publions dans ce numéro est à cet égard significative.
Du coup, en face, du côte des patrons et du gouvernement, sans trop la laisser paraître, une trouille diffuse s ´est installée. Comment expliquer, sinon, l ´envoie du GIGN contre des grévistes, dans un centre de tri ou sur un bateau? Il s´agit bien d´actions de prévention: impressioner, intimider, de peur que la colère déborde.
C´est dans la même logique que s´inscrivent les rafles, de plus en plus fréquentess et de plus en plus spectaculaires, que sont lancées contre les inmigrés, les sans-papiers, les pauvres. Les recettes les plus éculées de l´extrême droite sont remisés au goût du jour par l´homme de la rupture au Karcher et ses afidés. Mais là encore, la risposte est quelquefois inattendue: les interventions policières virent à l´émeute et leur résultat diamétralement opposé à ce qui abatí été programmé. C´est d´autant plus vrai que, mondalisarion aidant, les pays riches, ces temples de la consommation libérale, sont non seulement minés par les pauvres du dedans mais cernés par les pauvres du dehors. Du coup se trouve réactualisée cette grande invention américaine: le fil de fer barbelé.
Bien des étapes restent à franchir pour freiner et vaincre le sustème que nous exploite et nous asservit, bien sûr. Mais si le vent de révolte ne fléchit pas, s´il devient joyeux, tout sera possible.

Et aussi…

Autres livres, autre futur…
Les travailleur(se)s de Penauille se racontent
La CNT dans le nettoyage
Un patron vraiment très “créatif”…
Résister a la loi Fillon
Monoprix: acharnement antisindical
Chroniques de la violence quotidienne
L´ordinaire du “35 bis”…
La honte!!!
OGM : Fauchage, égale lutte anticapitaliste
Chili : La lutte pour la reconstruction d´un peuple
Melilla : Africains morts et Europe barbelée
Mali : Pour la dignité et contre l´indifférence
Un local à Argenteuil
Des outils pour s´exprimer librement…
Résistance : une nécessité urgente
Où contacter la CNT...
CNT- 69 : 20 ans de combat!

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RETROUVAILLES

SUR LES TRACES DE NOS ENFANTS NOUS IRONS
JUSQU´ AUX BARBELÉS DE LA HONTE NOUS IRONS
ET NOUS LE RETROUVERONS
SUR LES TRACES DE NOS ENFANTS, NOUS IRONS
CONTRE NOTRE SEIN, NOUS LES TIENDRONS
MORTS OU VIVANTS

COUMBA

03 noviembre, 2005

CENIT nº 967


EDITORIAL
ESTOY DE LAS RELIGIONES ¡HASTA LOS H...S!
Desde siglos y siglos me dan la lata con las religiones, cualquiera que sea, las unas y las otras, vaya tostón que me dan.
Los pillos que las crearon, para vivir del cuento sin dar golpe, usan y abusan del miedo a la muerte. ¿Qué será de vuestras almas cuando dejen vuestros cuerpos, Edén, Purgatorio, Infierno? Para mí, un buen fogonazo y se terminó el cuento.
Estos últimos años hemos comido religión a todas las salsas, y sin acomodamiento, por ojos, oídos, intra-musculares, intra-venosas, al gota-gota, en ducha y lavamiento, de sopa, de entremés, queso, postre y café.
El último papa que fue polaco pero sin ser minero, a cada dos por tres se me presentabga en casa sin por lo tanto invitarlo yo, vestido de gala con capotes decorados en oro, calcetines y ropas menores de seda, los que echa su ano tiene el mismo olor que ese de un minero.
Empecemos: nombramiento en tanto que jefe espiritual de la iglesia cristiana apostólica y romana, atentado que falló, haciendo de él un martir en vida, muchos de sus hermanos mineros han muerto víctimas, un poco para él, martirios pero muertos.
Siguen los viajes papales, coche de lujo, avión, barco, tren especial, sillones de todo confort sin ruedas y con ellas, para el minero una vagoneta con ruedas de acero y sin suspensión.
En esos viajes, concilios, misas, concentraciones, hemos tenido de todo: sermones, bendiciones, admonestaciones, amenazas poderosas, discursos ditirámbicos, belicistas, de paz, de cómo decir, hacer, comulgar, cagar, matar, lo otro la saben hacer pero no lo dicen- sería el colmo-,el minero lo hace muy bien por eso tiene muchos hijos, quizás ellos los tengan, pero escondidos, ya que dicen, procrear.
Han seguido, signos de cruz, imágenes de besa-tierra,enfermedades, apariciones ventanales, con y sin discurso, luego supuracionees, si se muere o no se muere, está mal, no va peror, operación, quizás salga para echar una bendición, pero se ha quedado mudo, porlomenos si hace tonterías no las dice, se agrava el asunto, murió, como ha muerto el pobre minero al fondo de la mina.
Sigue el rollo, llantos, lágrimas, ruegos, peregrinos de un lado para otro, ventas de retratos, imágnes, cruces, rosarios, recuerdos, aguas benditas o de refresco, bocadillos y begidas todo es bueno para el comercio.
No se teminó la cinta, ahora entierro faraónico, con gran tralalá y presencia de reyes, presidentes y ministros de unos y otros bordes, con barba y cigarro, chapka, kippa, keffieh, turbante, o sin ellos, cantidad de políticos, monseñores, monjas, curas, frailes, plenipotenciarios, mandatados, periodistas y alcahuetes,para el minero le acompañan a su última morada su familia,amigos y algún representante del explotador,por cumplir.
¿Y luego? Cónclavo, evaluación, suputación, proposicion, magulleo, ¿quién será? Humaredas negra y por sin blancas, estamos salvados tenemos nuevo papa, este es alemán, la mujer del minero se queda sola muchas veces con hijos por criar.
Van a seguir muchos episodios esta serie, misas inaugurales, santificación del viejo por el nuevo, ya que el otro hizo más santos que todos los anteriores reunidos, de algunos de estos santos habría mucho que decir, deseo que un día se diga, entre tanto sigue el carro (más bien el papamóvil) andando, y con el mismo cuento, la mujer del minero con subsidios para no morir de hambre, siempre desgraciadamente también el mismo cuento.
Lo que digo de esta proclama y aclamada secta, se puede transponer a todas las sectas y religiones, cambiando el título de mandamás, puede ser pope, patriarca ecuménico, lama, imán, pastor, rabbí o lo que se quiera, sin olvidar todos aquellos explotadores, militarotes con cao, pero sin dillo, zares, emperadores autoproclamados, jefes usurpadores, en fin no faltan cosas para decir que estoy hasta los h...s, de las religiones y sus embrollos, como supongo lo estará esa mujer de minero.
LEUNAM

Y también...
Manía de terrorismo por T. Pereira
¿A quién sostienen las instituciones proclamadas? por P.Peralta
El deceso de la ONU por F. Castilla
El cuento y refrán de los embusteros por M. Grau
Visita relámpago por J. Fortea
El penal de Ocaña por A. Fernández
De las víctimas del franquismo por J. Busquets
Finalidad anarquista por F. Urales
En este día... 4 de octubre... por Cal Andino
Rincón poético
Cartas a la redacción
Trazos de unas vidas militantes
y... Dichos y Hechos por S. Fernández Canto
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